"Ce monde vétuste et sans joie – faïlala,
Croulera demain devant notre foi – faïlala,
- Et nos marches guerrières
Feront frémir la terre
Au rythme des hauts tambours des lansquenets. (bis)
Que nous font insultes et horions,
Le jour viendra où leurs auteurs paieront
- Qu’ils freinent donc s’ils l’osent
Notre ascension grandiose
Que rythment les hauts tambours des lansquenets. (bis)
Nous luttons pour notre idéal,
Pour un ordre nouveau et national,
- Et à l'heure dernière
Nous quitterons la terre
Au rythme des hauts tambours des lansquenets. (bis)"
Croulera demain devant notre foi – faïlala,
- Et nos marches guerrières
Feront frémir la terre
Au rythme des hauts tambours des lansquenets. (bis)
Que nous font insultes et horions,
Le jour viendra où leurs auteurs paieront
- Qu’ils freinent donc s’ils l’osent
Notre ascension grandiose
Que rythment les hauts tambours des lansquenets. (bis)
Nous luttons pour notre idéal,
Pour un ordre nouveau et national,
- Et à l'heure dernière
Nous quitterons la terre
Au rythme des hauts tambours des lansquenets. (bis)"
Un quatrième couplet, des années 1980, fustige les marxistes et les capitalistes. C'est, d'ailleurs, l'un des points de désaccord au sein de l'extrême droite : non sur le marxisme (une des hétérodoxies d'Alain Soral, il fut un temps), mais sur le capitalisme. Car il existe une ligne business au sein de cette famille politique, sous-représentée en France, et dont l'Amérique de Ronald Reagan avait montré la direction. C'est, personnellement, cette ligne que j'ai ralliée : celle d'une extrême droite ultra-capitaliste.